L’étude urbaine présentée était motivée par :

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- une volonté d’amélioration de la gare existante : mise aux normes d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite, mise à niveau de la qualité de service...

- un besoin d’adaptation à l’évolution de la demande ou de l’environnement : augmentation de l’offre bus, modification des accès, restructuration urbaine du quartier ou du pôle d’échanges...

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La requalification urbaine du quartier de la gare portait sur 6 axes majeurs :

 

    - rétablir la cohérence des flux, liaisons et connexions piétons, vélos, buset automobiles du pôle multimodal,

    - recréer une place publique piétonne devant la gare,

    - recentrer l’activité et la vente de billets dans la gare existante,

    - concevoir 2 parcs de stationnement de part et d’autre de la voie ferrée,

    - déplacer la gare routière,

    - relier le pôle aux quartiers périphériques

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Pour rétablir la cohérence des flux, et assurer les liasons et les connexions du pôle, il fallait :

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    - dissocier les accès de chaque mode de transport.

    - des circulations horizontales et verticales de largeurs suffisantes.

    - rendre accessible l’ensemble du pôle multimodal, tous services confondus, à tous les usagers.

    - limiter les distances à parcourir.

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Les voies de chemin de fer constituent une véritable barrière urbaine.

 

Pour limiter les flux automobiles côté Montereau, la création d’une passerelle piétonne et d’un parking silo, côté Varennes, permettrait un accès plus fluide à une gare “intercommunale”.

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